Prendre le train jusqu’à la côte.
Au loin découvrir la mer, les palmiers et me sentir projetée dans une atmosphère de vacances, de temps suspendu.
Regarder les couleurs, surprendre un rapace sur une branche, s’émerveiller de tout jusqu’à l’ultime coucher de soleil.
Marcher dans la foule, savourer : le soleil, les mouettes, certaines femmes en tong, des hommes en short. Un air d’été.
Tout est loin.
Puis vient le moment.
Celui de la méditation universelle.
Celui où âme parmi des milliers d’autres, je me sens toute petite et néanmoins puissante.
Dans le monde, là, infiniment.