La maison vit, évolue sans moi. Et je ne m’en offusque pas. Rien n’est rangé, tout traîne un peu mais avec une certaine grâce. Cela fait écho à un précédent post d’ailleurs. Il y a comme une accumulation.
Je profite des extérieurs, qui s’assèchent lentement, mais je me repais du chant des oiseaux, de la vue sur mes montagnes. Cet intangible, ce qui ne cesse de me ravir au quotidien.
Je fais silence, comme dans une longue retraite pour m’extraire de ce monde qui fourmille et bruisse.
La méditation me permet de me reconnecter à mon corps mis à mal.
J’écoute ma maman qui m’évoque ses multiples bobos, je fais une carte d’anniversaire pour mon Népou, je cuisine des légumes, lis Happinez..
Je vis et j’attends la pluie…
Finalement, l’idéal, ce serait un bel anniv de népou sous la pluie…
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Tu connais mes désirs secrets chère Célestine 🙂
Douce journée et des bécots
C’est si joli, toutes ces sensations que tu décris ❤
J'aime les textes sensuels (qui font appel aux sens, hein ^^) et silencieux, qui sont presque une forme de méditation pour qui les lit
Je suis très touchée par ce compliment, merci à toi 🙂
C’est joliment écrit. Quoi de plus simple et de réconfortant qu’un moment chez soi, tranquille face aux montagnes. J’adore !
La pluie ferait du bien oui. J’appréhende l’été à venir.
La pluie est tombée, pour 15 petites minutes…
Pas suffisant pour rafraichir et pour nourrir les sols.
Belle soirée 🙂