Rentrer le soir après 19 h 30. Après le boulot, après l’hôpital.
Manger vite fait ce qui me tombe sous la main, préparer vite fait quelque chose pour le lendemain.
Au mieux prendre un livre, au pire m’avachir devant la TV, puis m’écrouler.
Se lever à 6 H 30, partir au max. une heure plus tard, s’enfiler dans les bouchons.
8 h 15 au plus tard, allumer l’ordi. top départ de la journée.
Déjeuner en 30 minutes et recommencer.
Alterner les réunions, les groupes de travail, l’administratif, le recrutement.
Quand il reste du temps, papoter autour d’un café, se donner des nouvelles, rire.
Je suis en pilotage automatique. depuis plusieurs mois, pour différentes raisons. Je regarde autour moi les choses changer, vite. Mon organisation de travail, l’organisation de mon service, ma collectivité. Mon monde aussi change de configuration, les piliers qui s’effritent, les rôles qui changent.
Pas le temps. De respirer à fond, de regarder par la fenêtre, de rêver, de faire le vide et même de penser à demain.
Simplement gare au burn out 😦
La maladie est insidieuse, j’ai failli plonger deux fois.
Je pense fort à toi.
¸¸.•*¨*• ☆
Merci pour ces conseils chère Célestine.
Le we qui approche m’est entièrement dédié 😉
Douce soirée
Drôle de vie que la vôtre. Ne peut-on pas vraiment trouver le temps ? Et travailler moins en gagnant moins ? 😉
Drôle ?
Ce serait bien plus agréable si c’était drôle mais ça ne l’est malheureusement pas…
Drôle ici, signifiait étrange, bien sûr !
Bien sûr !
😉
Courage, on en sort un jour..; c’est une phase, heureusement !
Merci de venir ici 🙂
Une phase, certes, mais qui dure…
Je vais aller te visiter chez toi !
C’est exactement la réflexion que je me suis faite … en mode automatique … et en mode automatique, on passe souvent à côté de trucs importants. Je suis tellement la tête dans les problèmes institutionnels actuellement, que je délaisse trop souvent à mon goût ma casquette d’assistante sociale … La tête dans le guidon … j’ai jamais aimé les automatiques. J’aime diriger de moi même ma vie !
Je te souhaite chère Mlle de reprendre les rênes et de ne pas de perdre.
Au fond, ce qui compte ce sont les personnes :), l’exercice de nos métiers respectifs.
et si vous habitiez ensemble dans le même lieu avec votre compagnon , les frais seraient réduits, et vous pourriez de travailler en temps partiel.
J’aspire à cette solution Alexandra… mais ce n’est pas le désir de mon Népou…
Merci pour votre passage ici 🙂
« Pas le temps »
Le temps est en effet un élément essentiel pour se sentir vivant. Lorsque je n’en dispose pas j’ai cette impression d’être dans un train qui ne s’arrête dans aucune gare. C’est épuisant, physiquement et moralement.
Je te souhaite de retrouver du temps…
Merci Pierre.
Il faut beau aujourd’hui, je vais « montagner » 😉