Je me demande toujours quand je sortirai de cet état.
La lancinante douleur au fond, celle qui m’étreint si fort lorsque je suis seule. A m’étouffer.
Je donne si bien le change.
Je ne suis même pas certaine de savoir. Ou plutôt si, les pistes sont multiples.
Toujours identiques, récurrentes griffures du quotidien.
J’ai pourtant des moments de bonheurs fulgurants. Souvent liés à la nature.
Et si tu arretais de donner le change ? Déjà tu te libererais d une sacrée tension qui se rajoute à ta douleur non ? S alléger de ce qu on peut déjà… De ce qui se rajoute les ptes pierres qui se rajoutent
Bizettes
Bises Catherine
Si seulement oui
si tu sens que la nature est un secours, développer ce lien encore plus je pense,
pourquoi pas à travers un travail ?
je pense bien à toi, bises
Je ne suis pas capable de cela je pense.
Pas un travail.
Je suis faite pour accompagner, pour transmettre, pour faire émerger des compétences.
La nature, c’est pour la détente, pour le ressourcement.
Des pensées chère Sylvie
Je suis sincèrement navré de vous voir fouler le sentier sur lequel je suis…
Essayez avec tout le potentiel qui est en vous de vous inspirer de cette nature, plus précisément de cette rivière qui bondit entre les roches… Soyez cette eau vivante qui se heurte, qui glisse et saute ces obstacles…
Ne focalisez pas sur le parcours à parcourir, concentrez-vous sur chaque pas en avant…
Quant à la douleur… Je suis assez mal placé pour vous conseiller. Ce que je sais, c’est qu’elle est en partie « éducatrice »… Il nous faut la supporter pour ne pas être emporté…
Courage donc, continuez à vous inspirer de la nature ; elle vous ressource pour affronter le monde.
Sincèrement.
Je crois avoir compris votre mal….
Merci pour vos mots ici.
Je ne foule pas le sentier.
Je suis embourbée dans la dépression depuis plus de 2 ans.
Des pensées douces
La nature console de tout. Et avec elle, on ne sent pas le besoin de donner le change 😉
la nature ne console pas de tout
pas si simple ces angoisses, ce monde plongé dans la peur, dans l’incertitude, la précarité qui rode, la violence. Nous sommes des éponges et nos absorbons ces états de frayeur.
voir la part de nos peurs et celles extérieures
Loin de là en effet. Mais elle m’apporte une paix que je ne trouve nulle part ailleurs, un nouveau souffle.
Je suis une éponge c’est vrai.
Je m’efforce de faire la part des choses pour garder la tête hors de l’eau.
Merci de venir ici Adeline
embourbée dans la dépression
et s’efforcer de donner le change
oui je connais ça
Difficile de le comprendre quand on ne le vit pas
Je t’embrasse, Cloudy
Douces bises ma Coum’
Savoir voir et photographier la beauté et nous l’offrir en cadeau alors que vous êtes « embourbée dans la dépression » , chapeau bas ! Cloudy, il y a en vous de belles forces et vous méritez le meilleur. Je vous souhaite de trouver les personnes qui sauront faire « émerger » tout le bien qui est en vous.
Amitiés
Comme vous êtes douces avec moi Camille Madeleine.
Merci à vous pour votre présence ici 🙂
bondir comme l’eau vive, sans s’accrocher, comme le suggère Kakushishen (et c’est aussi de la méthode Coué que de dire cela…)