D’aussi loin que je me souvienne, j’ai été une enfant anxieuse.
Très imprégnée par les difficultés de mes parents, financières, familiales, de couple aussi.
La notion de stress, si parfaitement inconnue dans certaines contrées, m’a accompagnée dans chaque étape de ma vie. Ma scolarité, ma vie personnelle, professionnelle.
Des angoisses héritées, pour la plus grande part, des angoisses que je me suis forgée par la suite. Comme une seconde peau.
La paix intérieure, fugace est un concept lointain pour ce qui me concerne.
Il n’y a guère que dans la nature que je me sens bien. A ma place. En accord, alignée, ancrée. En paix.
Un royaume. De silence, de lumière, de pureté. Et les arbres !
The Cloudy World 
quand je disais que décidément nos histoires se ressemblent; s’en est troublant parfois!
ta photo me fait penser à un travail d’Anselm Kieffer mais avec la lumière, pas les cendres, bises
Merci Sylvie de m’avoir fait découvrir Anselm Kieffer (né le même jour que moi). Je crois que je comprends mieux le pourquoi des cendres.
Je cultive la lumière 🙂
J’ai une passion pour les arbres, la forêt…
Douces pensées chère Sylvie 🙂
Très belle ta photo, ça donne envie de s’attarder dans cette forêt…
Merci !
Je suis touchée que l’on aime mes photos (même si celle ci présente de nombreux défauts).
J’en fais de plus en plus, en plus d’être bien dans cet univers, le fait de capter son atmosphère me remplit de bonheur 🙂
La paix intérieure…
Je la cherche obstinément, moi le « kakushiken » du net…
Je crois que ce n’est pas l’atteindre qui est le plus important, mais de faire le chemin vers cette paix intérieure… Dire cela rend le chemin plus facile à fouler…
sourire