La neige est tombée, accompagnée d’un froid saisissant. Comme pour dire qu’il faut tourner la page. Passer à autre chose.
Passer à autre chose, je ne rêve que de ça.
Un chalet en montagne, une vue baignée de neige. Un feu qui crépite, du chocolat chaud (du Angelina, ma gourmandise n’est jamais loin), un bon bouquin, un pyjama et des chaussettes pilou et un lit king size.
Ce serait ça le bonheur.
Le silence, la nature et moi.
Car tout le reste devient trop, tous les autres sont de trop.
La reconnexion, le silence, la mise à distance me sont indispensables et pourtant impossible à mettre en œuvre. Impossible d’échapper aux contingences du quotidien, même lorsque le bruit intérieur devient assourdissant.
Je comprends bien ce sentiment de « trop »
Hélas il faut y rester plongés en vertu du simple quotidien…qu’il faut assumer en dépit de tout
Alors… puiser dans un livre (par ex) une phrase reconstituante qui accompagnera sa journée… c’est ce que je fais
bonjour Cloudy, moi non plus, je n’arrive pas à prendre du recul malgré l’envie de tout envoyer au loin
Oulala… Ca fait beaucoup de post où je me retrouve ! (Dis donc, ton deuxième prénom, ça serait pas Sophie ?!)
Le « trop », c’est tout à fait ça. Trop de tout… et malheureusement, beaucoup de trop de « trop de n’importe quoi ».
T’opterais pour une vue dégagée sur le mer, je serai venu boire le chocolat chaud chez toi ; )
Allez, du courage. Et puis… des sourires (mon remède : ).
Je suis d’accord, les autres sont de trop. Je n’ai qu’une seule envie en ce moment: m’enfouir sous ma couette, y rester et pouvoir oublier.
Le bonheur serait… allez je m’arrête car tout comme vous, pour moi le bonheur ne serait pas de faire ce que je fais 😉 S’accommoder est un travail de chaque instant !
Bonsoir Cloudy,
J’ ai le bonheur insigne d’ aimer un mec magnifique … d’ être aimée de façon inconditionnelle et flamboyante et de me pincer pour y croire chaque jour … Impossible d’ imaginer le monde sans lui et sans nos jours et nos nuits …
D’ être entourée une semaine sur deux par mes trois petites lumières, même si tout est lourd parfois et difficile.
J’ ai jeté ma balance. Je pèserai 60 58 61 63 59 kg je m’ en fous désormais puisque mon corps vit et vibre …
Prenez soin de vous, j’ aimerais même écrire aimez vous follement, inconsidérément ..
A bientôt!
Comme c’est beau Lætitia ce que tu écris là. Savoure chaque instant de ces cadeaux que la vie t’a offerte :))
Doux dimanche