Se lever parce que le sommeil est impossible à trouver.
Se faire un café. Le prendre devant la fenêtre grande ouverte. Goûter la nuit enveloppante, le silence. Déplorer déjà la trop grande chaleur.
Se laisser envahir par un certain nombre de pensées.
Compter le nombre de mails en souffrance auxquels il faut répondre, les coups de téléphone à passer.
Se dire que le courage manquera tout à l’heure pour donner à la maison un semblant d’apparence normale (on dirait qu’on a campé ici !).
Grignoter (off course)
Naviguer sur internet pour trouver une hypothétique robe chemise en solde, tout en sachant que la robe chemise ne me va pas. Aller sur facebook (quelle connerie ce facebook quand même) contempler la vie de mes nombreux non-amis
Me dire qu’il faut que je revienne par ici pour écrire. Car il n’y a guère que l’écriture qui remplisse tous mes vides.
Oh, oui!
Reviens écrire par ici, c’est toujours bien de te lire!!!
Merciiiiiiiiii; c’est hyper gentil ça 🙂
et comme j’aime ton écriture!….je t’embrasse
Merci chère Sylvie !
Je suis très touchée
Moi aussi j’aime quand tu écris …
Ohhhh merci Anne 🙂
(quelle connerie ce facebook quand même). Ah tiens, moi qui me dis parfois qu’il s’y passe peut-être des choses intéressantes…
Je te rassure Pierre : pas du tout !
Je vais m’enlever (dès que j’aurais compris comment faire)…
😉
quand on écrit aussi bien que toi bien sûr qu’il faut revenir ici (et laisser tomber fb 🙂
Venant de toi, je suis hyper touchée.
Merciiii !
🙂
L’écriture est parfois presque un exercice thérapeutique qui permet de mieux s’apprivoiser 😉
Oui vous avez totalement raison, si je m’en éloigne parfois, j’y reviens toujours