Il y a eu cette réunion d’équipe éprouvante
Il y a eu ces 15 mails échangés sur un sujet à la con, comme dans une cour de récréation, comme « c’est celui qui a dit qui est »
Il y a eu cette prune, encore. 107 euros en moins de deux mois.
Il y a eu cette invitation dans son bureau « pour régler la situation »
Il y a le doute, le questionnement, la lassitude
Il y a ces nuits blanches, à nouveau
Il y a cette sensation, si souvent touchée du doigt : le besoin physique de la fuite. Prendre 2 sacs, des bouquins, ma voiture et partir. Loin
Il y a les mots qui se bousculent mais qui ne sortent pas.
Il y a ces insupportables relations, ces échanges violents qui ne servent à rien, sinon à crisper.
Il y a cette impasse, avec laquelle je me familiarise depuis plusieurs mois.
Je n’ai envie de rien, ou plutôt pas grand chose : sinon de silence, de repos, de paix intérieure.
Alors pour quelques temps, je vais me mettre « au vert »
Tendresses et chocolat ♥
Nos metiers sont particulièrement devorants ! Je comprends ton désarroi… je rêve plusieurs fois par jour de prendre mon sac et…. Aller ca va passer… bisous
Voilà, vous trouvez vous-même une solution à tous ces « il y a » qui, de fait, laissent à penser qu’il s’agit d’un gros « ras-le-bol ». Bonne cure de vert, j’espère que vous y trouverez le bien être tant attendu.
et vraiment partir un we, en forêt ou au bord de la mer… avec pour objectif : ne faire rien… ?
bon courage.
Ce n’est pas une fuite, c’est parfois une nécessité, c’est du repos, c’est du bien-être loin de ces turpitudes… C’est souffler ! (et non s’essouffler…)
Prends soin de toi, Cloudy. Tu as raison de te re-centrer. Bises.
Je t’ai envoyé un mail 😉
Ton désarroi me peine. Prends le temps de te ressourcer et de te chouchouter un peu. Des bises.