Visionnaire génial, patron excessif et tyrannique, père absent, homme coupé de ses émotions. Qui était vraiment Steve Jobs, de quoi ou de qui s’inspirait-il pour créer ?
Si Steve Jobs était un peu tout cela à la fois, on ne devine pas à travers le film par quelles forces il pouvait être mû pour mener à bien ses multiples projets : drogues, besoin de revanche sur la vie (Steve Jobs a été adopté), aucune réponse réelle n’est apportée.
Le film ne jette aucun voile sur ses parts d’ombres, nombreuses, qui ne rendent pas le personnage forcément sympathique.
Le biopic retrace la vie de Steve Jobs, de ses débuts (Apple, puis Lisa puis Macintosh), jusqu’au moment où il reprend les rênes de son entreprise, en y faisant un grand nettoyage. Car l’homme de dénuement n’en n’est pas moins un idéaliste qui pousse loin le concept du produit. C’est un puriste qui ne souffre aucune contradiction, qui mène son entreprise au coup de cœur.
Le film est honnête, sans doute moins puissant que le « Social Network », mais se laisse agréablement regarder.
Ashton Kuchter porte le film secondé par une multitude de seconds rôles. Les critiques ciné sont assez injustes je trouve avec le jeu de Kuchter. Il incarne le personnage d’une belle manière, sans l’effacer ni donner non plus dans la sensiblerie. Il s’est nourrit tant de la démarche, que de la voix ou enfin du regard pour rendre l’entreprise crédible.
Peut être que l’esprit de l’homme, son essence, repose (pour partie), dans le message très connu qu’il a lu aux élèves de Stanford en 2005 (http://www.evene.fr/celebre/actualite/discours-steve-jobs-stanford-2005-672682.php)
Je ne suis pas très « ciné » mais serais bien tentée par ce film. J’aime l’histoire de Steve Jobs.
Moi qui ne peux pas forcément aller au cinéma je suis l’actualité avec passion et j’aime avoir l’avis de ceux qui peuvent y aller ! Merci pour ça
Bisous doux ma belle