Il faut aller à plus de 1000 mètres pour espérer avoir un peu d’air frais.
Je bénis le vent qui vient caresser ma peau.
Dans ce décor de rêve tout est sujet à contemplation et à émerveillement.
Je ferme les yeux et je me repais du silence.
Ici il n’y a rien d’autre que le chant des oiseaux et le bruissement du vent dans les feuillages.
Je ferme les yeux pour photographier le décor, respirer à plein poumons, me fondre dans les éléments.
Et toucher du doigt le bonheur.
Oui, le bonheur est ici dans cet instant, avec lui…